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جواهر ستار التعليمية :: منتدى التعليم الثانوي :: منتدى السنة الأولى ثانوي 1AS :: Exemples des devoirs et compositions français 1AS :: Langue française 1AS اللغة الفرنسية للسنة أولى ثانوي |
الأحد 10 سبتمبر - 15:03:15 | المشاركة رقم: | |||||||
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| موضوع: Projet n° 1 Projet n° 1 Réalisation d’une monographie par la classe entière, ou de deux ou trois monographies par de petits groupes (monographie du quartier, de la ville ou du village). — Objectif lointain : en 2e et 3e années secondaires, les élèves auront à réaliser des monographies à caractère scientif que. — Intérêt didactique : le projet permettra de développer des activités interactives. — la monographie constituera une situation-problème complexe ayant du sens pour les élèves, et permettra de mettre en œuvre les objets d’étude du programme. Déroulement du projet 1- Mise en place du projet et du contrat didactique. 1.1- Lecture inductrice : «Mon village» de M. FERAOUN (Jours de Kabylie). 1.2- Négociation avec les élèves : — pour déf nir la démarche, — pour organiser les groupes, — pour f xer un calendrier des travaux. 2- Réalisation des travaux. — Constitution d’une documentation. — Recueil d’informations. — Mise en forme de la monographie. 3- Communications orales et écrites Validation des travaux en tant que documentation de la classe. - 8 - Thèmes possibles à traiter dans la monographie : — L’histoire (l’ancien nom, le nouveau nom, la justif cation éventuelle du toponyme), — la situation géographique, les villes ou les villages voisins, l’accès (réalisation d’une carte de la région), — le développement sur le plan urbanistique ; l’évolution du chiffre de population, — les activités, — les événements importants ou anecdotiques recueillis auprès des personnes âgées. D’autres thèmes peuvent être suggérés par les élèves. Intégration des objets d’étude, des notions et des techniques : La monographie engendrera nécessairement des activités mettant en oeuvre : — les objets d’étude (interviews, lettres pour recueillir des informations sur le quartier, la ville ou le village…) — les techniques (recherche et traitement de la documentation avec prise de notes, reformulation, résumés…) — les modes d’expression(puisqu’il s’agira de communiquer oralement et par écrit les الموضوعالأصلي : Projet n° 1 // المصدر : ممنتديات جواهر ستار التعليمية //الكاتب: berber
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الأحد 10 سبتمبر - 15:04:59 | المشاركة رقم: | |||||||
Admin
| موضوع: رد: Projet n° 1 Projet n° 1 : 1- Le sujet : Dans «Jours de Kabylie», Mouloud Feraoun évoque sa Kabylie natale, ses paysages, ses traditions et ses rituels, avec une sensibilité et une tendresse amusées qui témoignent d’un profond attachement, mais qui n’empêchent pas un regard lucide. «Mon village», qui constitue le premier texte de ce recueil, est un récit qui se déroule à la manière d’un conte : Feraoun simule une conversation entre le village doué de parole et de sentiments, et le narrateur et émigré à qui il reproche de revenir avec un regard différent. 2- L’interêt humain : Ce récit peut être transposé à beaucoup de villages qui alimentaient l’émigration après la deuxième guerre mondiale. Le départ, ressenti comme un exil n’est jamais déf nitif : on revient au village, au quartier pour y retrouver ses racines. 3- L’exploitation : Le texte n’est pas très long. Il peut être traité en un seul trait comme texte inducteur du projet. Toutefois des parties y sont aménagées pour être exploitées sous la forme de lectures suivies et dirigées. - 10 - La ville : déf nitions du dictionnaire. 1- L’évolution d’une déf nition : • Retrouver dans la première déf nition les trois caractéristiques de la ville (assemblage d’habitations, disposition par rues, limitation par une enceinte : ce sont là des caractéristiques physiques). • Les caractéristiques sont-elles reprises dans la seconde déf nition ? (Réunion organique de constructions, notamment d’habitations). • Entre 1933 et 1977, quelle conception importante est ajoutée à la déf nition de la ville ? (La ville est considérée comme un milieu social — La déf nition évoque également des fonctions sociales, En plus des caractéristiques physiques la déf nition introduit des caractéristiques liées aux activités humaines). 2- Deux villes opposées : • La troisième déf nition oppose deux villes : lesquelles (ville arabe et ville européenne). • Quel autre nom est donné à la ville arabe ? (Ville indigène -chercher ce mot dans le dictionnaire). • De quand date l’opposition ville arabe / ville indigène ?1830 sous la colonisation). • Retrouver le champ lexical de «ville arabe» (Casbah, citadelle, casbah d’Alger, ville indigène, médina). 3- Expression (dans le cadre de la monographie) : Dans votre ville, la distinction entre la ville arabe et l’ancienne ville européenne est-elle encore visible ? Quels traits les distinguent ? : L’architecture ? Les activités commerciales ? (Le Ksar, dans certaines régions du pays). - 11 - La structure de la ville arabe 1- La structure de la ville : détermine la géographie des activités. • Trait fondamental qui la caractérise ? (Séparation des fonctions économiques et des fonctions résidentielles). • Combien de types d’activités ? activités économiques et activités résidentielles). • Où se rassemblent les activités économiques ? (autour du « souk») • Qu’est-ce qui caractérise l’activité économique ? (forte spécialisation par métier et par zone géographique). 2- La structure de la ville : une réparation radio-concentrique (travail d’élèves) • Demander de faire le schéma (une zone centrale : le souk - des rues qui partent de ce centre comme les rayons d’un cercle - d’autres rues situées sur des cercles concentriques) • Situer sur ce schéma les activités principales (- les nommer - pourquoi sont-elles principales ?), et les activités secondaires (pourquoi secondaires ?) Comment sont-elles réparties ? — activités principales : produits précieux pour le commerce international ; — activités secondaires moins spécialisées et moins lucratives ; — répartition en ordre d’importance décroissante. 3- Point de langue — Relever le vocabulaire qui décrit l’organisation géométrique de la ville arabe traditionnelle (centre - périphérie - zone centrale - structure radioconcentrique - proximité/distance). 4- Expression La ville, le village que vous habitez, est-il construit selon la même géométrie ? - 12 - Deux vues d’Alger Séquence 1- Situer les descriptions : • Les auteurs ? L.Galibert, l’Algérie ancienne et moderne…, Th. Gautier, Voyage pittoresque en Algérie). • L’époque ? (1844 et 1845 soit une quinzaine d’années après la prise d’Alger en 1830. La ville européenne n’existe pas encore). • Des écrivains du début de la colonisation ? (Alphonse Daudet, «Tartarin de Tarascon», écrit partiellement dans les environs d’Alger, Eugène Fromentin, «Un été au Sahara» (1857), peinture de Delacroix…) 2- Deux descriptions : un même point de vue • La même impression d’ensemble exprimée par deux mots. Lesquels ? (dédale, labyrinthe). • Relever les expressions qui décrivent les rues dans le texte1, puis dans le texte 2. • Comparer les deux relevés. Quel est le point commun ? (Leur étroitesse, leur enchevêtrement). • Le texte 2 porte un jugement : lequel ? (Jugement sur les architectes maures qui ne se préoccupent pas de la régularité). • Texte 2 : A quoi sont comparées les constructions ? (Aux stalactites et aux stalagmites d’une grotte- Chercher le sens de ces deux mots). 3- Points de langue • Quels pronoms manifestent la présence du narrateur descripteur ? (1er texte : on f nit ; 2e texte : nous retrouver). • A partir des deux textes constituer le champ lexical de la rue. 4- Expression : Commentaire d’une gravure. Alger, la darse de l’Amirauté. - 13 - Regroupement de textes Article de «El Watan» Caricature de Maz -Texte de R. Ikor. 1- Un thème commun : l’urbanisme — Chercher dans le dictionnaire la déf nition du mot. — Quelles informations statistiques apporte le premier texte ? (Sous-titre). — Quel projet y est envisagé ? (Création de 28 villes, dont 4 métropoles). — Quelle politique d’urbanisation poursuivent les pouvoirs publics ? (Gestion de l’espace, et promotion d’une véritable démocratie de proximité.) 2- Une menace sur les campagnes — Texte 1 : quelles insuff sances sont signalées en matière d’urbanisation ? (Une croissance urbaine non contrôlée, inadéquation - «anachronisme»- des moyens mis en œuvre). — Quel danger est signalé dans la caricature de Maz et dans le texte3 ? (L’urbanisation des campagnes). — Comment ce danger est-il exprimé dans la caricature et dans le texte ? (Maz : «en construisant des villes dans les campagnes» - Ikor : «la campagne engloutie par la ville»). 3- Expression orale Engager une discussion sur ce thème (les élèves font part de ce qu’ils observent dans leur village ; les amener à porter un jugement (préserver la campagne - argument écologiste - ou offrir des logements à tout le monde ?) - 14 - La campagne engloutie par la ville 1- Une progression irrésistible de la ville — Phrase du texte qui exprime le mieux (elle avance, elle pousse, elle gagne…). — Relever les étapes de cette progression (dégradation de la nature - «les forêts ne sont plus que des parcs»-, tracés de route jaillissant en étoile de la ville - pour mieux accaparer l’espace-, construction de maisons le long des routes - invasion par les voitures, prolifération de tout - maison, village ,hameaux…). — Le point culminant de l’urbanisation : relever le phénomène qui l’exprime le mieux (gares, puis métro). — Relever deux expressions, à la f n du texte, qui exprime la même idée du titre « engloutie » (inondation pierreuse, submerger ; dans le 1er paragraphe : fl ot d’acier des voitures). 2- En sens inverse, une régression de la campagne Relever les expressions qui le montrent (champs raréf és, rétrécis, réduits en tranches de jardins parallèles). La mort de la campagne : relever le terme qui l’exprime (agonisent). 3- Une langue imagée qui frappe les esprits Relever quelques comparaisons et métaphores fortes (Les forêts ne sont plus que des parcs, jaillir en rayons d’étoile, carapace de maisons, fl ots d’acier des voitures, chaque hameau bourgeonne, inondation pierreuse…). 4- Expression orale L’auteur porte un jugement sur ce phénomène. Lequel, à votre avis ? Ce jugement n’est-il pas implicite dans la caricature de Maz ? - 15 - Entretien avec R.Mimouni- Alger 1- La ville dans l’imaginaire du campagnard — Comment le campagnard perçoit-il la ville ? (Comme un territoire étranger). — Quels sont les traits physiques qui différencient la ville et la campagne ? Dresser un tableau comparatif en numérotant les traits (lieu clos/lieu ouvert ; espace limité de la ville/espace illimité de la campagne). — Quels sont les traits sociaux qui différencient la ville et la campagne ? Dresser un tableau comparatif en numérotant les traits (Ville, lieu de lumière mais de lumière artif cielle ; ville, lieu apparent de modernité ; ville lieu où on porte l’habit européen- à la campagne on porte le vêtement traditionnel). — Quelle observation Mimouni fait-il à propos de la modernité des villes (le vêtement symbole d’une modernité assimilée à l’occident). 2- Une perception qui a évolué — Une perception de Mimouni enfant : quelle phrase le montre ? (Dernière phrase). — Mimouni adulte a-t-il la même perception ? (Sa perception, [son appréhension] s’est banalisée, dernière phrase. 3- Point de langue — Vocabulaire : • Comment «labyrinthe » est-il expliqué dans le texte ? (entrelac presque inextricable de rues où l’on peut se perdre) • «Les choses essentielles ne sont pas visibles». Remplacer l’adjectif en gras par un adjectif de même sens (invisibles). • Comment ce mot est-il formé ? 4- expression Aujourd’hui les campagnards perçoivent-ils la ville comme Mimouni enfant ? Pour quelles raisons ? - 16 - Entretien avec R.Mimouni - L’Autre ville 1- Paris, une ville familière — A quel âge Mimouni découvre-t-il Paris ? (À 20 ans). — Une première impression étrange : pourquoi ? (Impression de familiarité, l’impression qu’il connaissait déjà la ville). — D’où vient cette impression de « forte familiarité » (la lecture des auteurs qui parlaient de Paris). — Quel est le roman de V. Hugo dont la lecture permet à Mimouni de reconnaître la cathédrale de Notre Dame ? commenter la réponse. (Notre Dame de Paris adaptée à l’écran, personnage célèbre, Quasimodo…). • Un autre roman de V.Hugo ayant pour espace Paris ? (Les misérables avec en particulier le personnage de Cosette). — Quel autre auteur est rattaché à Paris ? (Anatole France et le Jardin du Luxembourg). 2- Au delà de cette première impression de familiarité… — Qu’est-ce qui a particulièrement impressionné Mimouni ? (L’abondance de l’eau). Quelle phrase l’exprime particulièrement ? (Aussi cette profusion d’eau a-t-elle été source d’étonnement). — «Nos villes sont très riches» : une exception pourtant, laquelle ? (Dans les très vieilles maisons arabes, il y a traditionnellement un jet d’eau dans la cour). 3- Une 3e impression — Laquelle ? — Pourquoi la ville de Paris parait-elle le symbole de la modernité ? (Fer et acier omniprésent. Signif cation de ce terme ?) 4- Expression Quelle ville algérienne ou étrangère vous a particulièrement impressionné (es) ? Pour quelles raisons
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الأحد 10 سبتمبر - 15:07:43 | المشاركة رقم: | |||||||
Admin
| موضوع: رد: Projet n° 1 Projet n° 1 Hong-Kong : une allégorie, un symbole — A quoi est comparée la ville ? Justif er (à un dragon : 1er § : HongKong est le dragon ; dernier § : et le dragon ondule… la ville est ici complètement assimilée au dragon). — Pourquoi ? (Le dragon est le symbole de l’Extrême-Orient, Chine et Japon. Noter l’emploi du déterminant «le» au lieu de «un», indéterminé). — Traits caractéristiques du dragon qui se retrouvent dans la ville ? (Onduler, se cabrer, s’enrouler, boulevards hérissés - comme le dos du dragon). — Figure de style employée par l’auteur ? Effet produit ? (Animalisation, Hong Kong apparaît comme un animal vivant, effrayant ; cf. «fête effrayante»). 2- Un tableau vivant et coloré — Relever les mots (noms et verbes) qui expriment ou suggèrent le mouvement. — Relever les mots (noms, verbes, adjectifs) qui expriment ou évoquent des couleurs. — Relever des mots (noms, verbes) qui expriment des bruits. 3- Une impression f nale Quelle image f nale est évoquée par la ville ? (Le spectacle d’un plateau de théâtre animé par des machinistes, décor d’une féerie). NB : rapprocher du théâtre en No (chercher le sens dans le dictionnaire). 4- Points de langue : La phrase énumérative — Relever quelques phrases énumératives (1er et 2e §). — Effet produit ? (Style alerte qui crée l’impression de mouvement). - 18
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الأحد 10 سبتمبر - 15:08:55 | المشاركة رقم: | |||||||
Admin
| موضوع: رد: Projet n° 1 Projet n° 1 L’INTERVIEW Compétences visées • Recueillir une ou des informations au moyen de l’interview : — déf nir, avec précision, l’objet de l’interview, — construire le questionnaire de l’interview, — réaliser l’interview en tenant compte des paramètres situationnels (qualité de l’interviewé, temps alloué à l’interview), — consigner l’information recueillie (notes ou enregistrement), — transcrire une interview. Techniques d’expression — Prendre des notes. — Présenter ou se présenter par un curriculum vitae. — Construire un questionnaire pour recueillir des informations. L’INTERVIEW Indications pour le professeur Le dossier sur l’interview comporte 4 phases (ou séquences). 1- Phase d’initiation • A partir de deux interviews (un journaliste sportif, un écrivain). • Il s’agit, à partir d’une comparaison des textes : — de dégager la fonction de l’interview (recueillir des informations), — de caractériser l’interview en tant que situation de communication (domaine de l’oral, situation en «face à face»… — de mettre l’accent sur la nécessité d’une «gestion» rigoureuse (objectif bien déf ni, questionnaire pertinent par rapport à l’objectif, réalisation demandant du tact…) 2- Phase analytique (d’approfondissement) Les deux textes sont repris et traités pour en approfondir le sens et le contenu, préciser davantage la notion et réaliser les autres apprentissages du programme (étude de la langue et des techniques d’expression) 3- Phase d’élargissement D’autres interviews sont proposées dans le livre : il s’agit d’examiner pour chacune d’elles, le sujet de l’interview, la qualité de la personne interviewée, la pertinence du questionnaire, l’eff cacité de l’interview (les réponses donnent-elles les informations souhaitées ?) 4- Phase de production et d’évaluation Préparation et réalisation d’une interview qui s’intégrera dans le projet en cours. - 20 - Entretien et interview Indications pour le professeur 1- L’entretien se caractérise par une hiérarchie entre les interlocuteurs : celui qui dirige le dialogue par des questions doit porter un jugement sur l’autre. Dans l’interview, l’objectif n’est pas de porter un jugement, mais d’obtenir une information claire. 2- L’interview : les fonctions du langage mises en œuvre : • Fonction référentielle : le questionnaire ordonné logiquement vise à obtenir l’information souhaitée : il utilise les interrogations totales et les interrogations partielles, les questions ouvertes, qui laissent à l’interrogé l’initiative de la réponse, et les questions fermées (la question s’accompagne de plusieurs réponses parmi lesquelles l’interrogé doit choisir.) • Fonction métalinguistique : le langage doit être adapté au niveau socioculturel de l’interrogé pour que les questions soient correctement interprétées. • Fonction impressive : l’interrogé doit se sentir concerné par les questions ; le questionneur doit se montrer attentif aux réactions de son interlocuteur. • Fonction expressive : Le questionneur doit montrer qu’il attache de l’intérêt aux réponses du questionné. • Fonction phatique ou de contact : le questionneur doit s’efforcer de maintenir l’adhésion du questionné par une attitude bienveillante et responsable. - 21 - Un f lm sur l’exil… 1- L’interview : un acte de communication : — Qui parle à qui ? à quel sujet ? 2- Le sujet — Dans quelle partie de l’interview est-il présenté ? (1re réponse) — Quels en sont les thèmes ? (l’immigration, le confl it des générations, l’itinéraire réussi d’un émigré, le problème du retour…) — Quels thèmes habituels relatifs à l’émigration sont-ils évacués du f lm ? (racisme, ghetto, misère…) 3- Un itinéraire réussi — Retracer l’itinéraire de Ali Gh. — Sur quoi cet itinéraire est-il réussi ? (jusqu’à présent l’image du maghrébin était celle de l’ouvrier de chantier ; «le mythe du balayeur de rue»… § 5) — Ali Gh. Est-il seulement cinéaste ? préciser et justif er. 4- Point de langue — Le journaliste utilise le terme « immigration ». Que signif e-t-il par rapport au terme habituellement utilisé ? (chercher dans le dictionnaire immigration et émigration) 5- Enonciation — Sous quelle forme le journaliste présente-t-il l’interview ? (propos recueillis par K.S). — Le f lm réalisé par Ali Gh. est-il la seule raison de l’interview ? justif er la réponse ( présenter l’itinéraire réussi d’un homme : le chapeau qui précède l’interview, la success strory d’un émigré). — L’interview est-elle menée uniquement à l’aide de questions ? Comment est-elle, chaque fois, relancée ? Justif er la réponse. 6- Production — Réaliser le questionnaire d’une interview pour établir le passé scolaire des élèves de la classe (par groupes, ou bien chaque élèves «interview» son voisin de table). - 22 - Le métier d’écrivain 1- Les contraintes de l’écriture — Les résumer à deux contraintes principales (une constante disponibilité incompatible avec un emploi du temps — un lieu familier, Nice la ville natale de J.M. Le Clésio.) — Moment le plus favorable pour écrire (le matin) — Les autres moments ? (La nuit) 2- L’écriture : une délivrance — Pourquoi une délivrance ? (Le besoin d’écrire, quelque chose qui bouleverse et qui peut faire souffrir.) — Un trait anecdotique qui le montre (J.M.Le Clésio prend des notes sur des bouts de nappe, au café.) 3- L’inspiration — Quelles sources ? (Scènes réellement vécues, scènes fournies par les lectures, scènes imaginées), — Quelles sources pour les romans «Procès-Verbal» et «Le livre des fuites» ? (1- souvenir d’une maison abandonnée. 2- le souvenir des avions de l’aéroport de Nice). 4- Points de langue — Combien de questions ont été posées à l’écrivain ? — A quel style sont ces questions ? — Reformuler ces questions, en une seule phrase, au style indirect. (Revoir avec les élèves le discours rapporté si c’est nécessaire). - 23 - Entretien avec T.R . 1- L’itinéraire d’un journaliste sportif (accepter reporter) : — Retrouver les indices du texte qui permettent d’identif er le métier de la personne interviewée (fréquentation du monde de la radio sportive qui a décidé de son futur métier- anime «Magazine Tiercé» à Europe1 — fait des reportages — commente des matches de football — fait des interviews dans le monde sportif) — Constituer le champ lexical du sport. 2- Un métier diff cile — Comment T.R prépare-t-il ses reportages ? Qu’est-ce qui facilite les reportages ? (les relations avec l’équipe.) — Comment travaille-t-il un commentaire ? (En disant ce qu’il ressent.) — Pourquoi travaillent-ils à deux ? (Entendre la même voix est lassant) — Pourquoi l’interview est-elle diff cile ? (Elle varie avec la personnalité du sportif.) 3- Point de langue — Nature des questions ouvertes ou fermées ? (Les questions sont ouvertes et permettent au journaliste d’ajouter des commentaires à sa réponse.) 4- Expression : Vers le Curriculum Vitae (CV) — Demander aux élèves de présenter oralement TR, en utilisant les informations du texte. - 24 - Des lecteurs interrogent un auteur
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الأحد 10 سبتمبر - 15:10:37 | المشاركة رقم: | |||||||
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| موضوع: رد: Projet n° 1 Projet n° 1 Des lecteurs interrogent un auteur 1- L’interview : une situation de communication • Qui s’adresse à qui ? A quel sujet ? (Des écoliers, un écolier : dernière intervention. — «Pour moi …» —, observation de l’écrivain : — «ce n’est pas comme un métier que l’on apprend à l’école» —, le tutoiement (un élève — «tu sais»), le vouvoiement (les élèves : «vous savez»). • Combien de questions posées ? (Trois, la dernière intervention est un commentaire de l’enfant suivi d’un commentaire de l’écrivain). 2- Comment on devient écrivain • Une vocation ? (Ça ne serait jamais venu à l’esprit d’être écrivain). • L’envie d’écrire : elle commence quand ? («Quand j’avais votre âge »…) • «Une affaire de famille» : pourquoi ? (Le mari et les enfants donnent leur avis, discutent des f ns possibles de l’histoire.) 3- Bu
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الأحد 10 سبتمبر - 15:11:44 | المشاركة رقم: | |||||||
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| موضوع: français en première année secondaire, sciences et technologie Projet n° 1 • Phrases interrogatives : transformez les deux dernières questions pour obtenir une interrogation avec inversion. Inf nitif, mode et temps des verbes (deviennent écrivains, fassent la même chose… Subjonctif présent — après un verbe de volonté et de souhait). 5- Expression • Compléter l’interview par d’autres questions que l’on pourrait poser à un écrivain.- 25 - Guillevic, qui êtes-vous ? 1- L’imagerie poétique — A quel moment se fait-elle ? ( dans l’enfance). — Guillevic choisit –il les thèmes de ses poésies ? (non, mais il y a des thèmes qui obsèdent). — Pourquoi certains thèmes obsèdent-ils ? (pour des raisons géographiques, le lieu de naissance, le lieu où on a vécu…). 2- L’écriture sur commande — Est-ce qu’il arrive à Guillevic d’écrire sur commande ? Un exemple ? (un imprimeur lui a demandé vingt poèmes sur les racines). 3- L’inspiration — En dehors des souvenirs, des thèmes qui obsèdent et des sujets sur commande, qu’est-ce qui inspire Guillevic ? 4- Comparer l’expérience de Guillevic et de Le Clézio : y a-t-il un point commun ? (le lieu est important. L’inspiration vient aussi des lectures). 5- Point de langue — Un style proche de l’oral : relever quelques marques (les points de suspension, des expressions « ça vient comme ça vient », «ça m’arrive», «et je pars….». — Transformer la dernière réponse en style écrit.- 26 - Les déportés algériens… 1- «Les témoins de la mémoire» • Identité exilée : Justif er l’expression(résistants algériens envoyés au bagne en Nouvelle Calédonie — d’autres à Cayenne — pendant l’occupation française.) Chercher la Nouvelle Calédonie sur la carte. • Pourquoi «mémoire» ? (Rappeler aux descendants de ces déportés leur origine, leurs racines : cf. dernière intervention), • Est-il facile de le faire ? (Ils sont rares ceux qui ont réussi un contact avec leur famille : l’éloignement et le temps tuent cette relation). 2- La réalisation d’une œuvre • Genre de l’œuvre réalisée par S.L. ? (Série documentaire), • Comment le réalisateur a-il réussi sa documentation ? (Archives, musées des prisons, rencontres avec des chercheurs et des historiens), • Comment commence la réalisation d’une série documentaire ? (Par un synopsis : chercher le mot dans le dictionnaire). 3- L’interview : une situation de communication • Qui interroge qui ? • Vraies et fausses questions ? (Ils revendiquent leurs racines… les témoins de la mémoire, un travail pédagogique… : transformer en vraies questions) 4- Grammaire • Transformer les questions 1 et 2 en commençant par «comment l’idée…», «Comment la rencontre…» (a-t-elle germée, s’est-elle effectuée) 5- Expression • Demander aux élèves d’imaginer une interview d’un descendant de déporté en trois ou quatre questions.- 27 - Pollution : texte et co-texte 1- Texte : origine — Identif cation, à partir d’indices, l’origine de cet extrait. (interview réalisée par J. Denis Lempereur : cf. la question posée au début), — Il s’agit d’un texte scientif que : relever les termes qui le montrent). A quelle science appartiennent-ils ? (à la chimie) — «Nous ne passerons ici en revue que les produits les plus dangereux». • deux types de produits. Lesquels ? (insecticides organophosphorés et les composés organiques à base de mercure), • Qu’est-ce qui les différencie ? (les premiers agissent immédiatement — foudroyants — les seconds agissent à long terme, plus lentement), — Puisqu’ils sont produits, à quels usages sont-ils destinés ? (lutte contre les insectes, emploi dans l’agriculture.). 2- Le co-texte — Reprend-il les informations du texte ou apporte-t-il d’autres informations ? — Dans ce dernier cas, lesquels ? (le parcours des produits chimiques jusqu’à leur ingestion par l’homme). 3- Points de langue — Comment sont formés les mots suivants : Insecticide, organophosphoré, hydroxyde, subaquatique ? — Donner leur sens à partir de leur composition.- 28 - Pollution Indices — Il s’agit d’un accident dans une raff nerie : • incendie (L 5), incendie (L 6), extinction du feu (L , accident (L 16, L 20), désastre (L 26). — Du mercure s’est déversé dans les eaux du Rhin (L 13, L 23). — Régions touchées : Bâle- Campagne, en Suisse (L 10), Strasbourg, en France (L 17). — Les effets de l’incendie : • émanations de soufre (L 1, L 2), • risques de pluies acides (L 2)? — A la pollution accidentelle, s’ajoute la pollution volontaire (L 23 à 26) Production — On pourra demander aux élèves de reconstituer l’événement et de le raconter en ajoutant leurs commentaires sur la pollution volontaire provoquée par des industriels peu scrupuleux.- 29 - Les activités, les métiers Compétences visées — Nommer, décrire des activités, des métiers en vue de les intégrer dans la vie du village ou du quartier, dans le cadre de la réalisation de la monographie. — Utiliser l’anecdote (cf. Ingersham) pour « donner de la vie » à la description. — Orienter une description en adoptant un point de vue (cf. thème précédent). Techniques d’expression Dessiner le plan de son village ou de son quartier comme travail préalable à une description rédigée. Ingersham (Jean Ray, La cité de l’indicible peur) Le roman de Jean Ray, roman policier et roman d’épouvante appartient à la littérature fantastique : dans la petite ville d’Ingersham qui «ressemble davantage à un village des Flandres qu’à une villette du Middlesex ou du Surrey», des événements effrayants vont se dérouler, ramenant «des peurs ancestrales» Pistes de travail possibles 1- Il s’agit de mettre en valeur le caractère provincial de la ville (maisons avec de petites fenêtres vertes tendues de mousseline, épiceries éclairées au pétrole et même à la chandelle, cabarets avec des plafonds bas…) 2- La vie des habitants est suggérée par la présentation des activités commerciales (mercerie, boucherie, boulangerie- pâtisserie…) et de petites anecdotes (aux dires des mauvaises langues…). 3- Un élément qui tranche avec la tranquille activité de commerce ordinaire : «le commencement du parc sombre et humide de la propriété de Sir Broody». Aux parcs souvent déserts la nuit, sont attachées des connotations inquiétantes (c’est le lieu de méfaits de crimes dans les romans policiers). 4- Un plan de quartier dans une ville, point de départ de la description de son propre quartier. Le professeur choisira la piste ou les pistes qui lui paraissent les plus appropriées pour une production orale ou écrite en évaluation terminale.- 30 - Le boutiquier philosophe 1- Métier et vocation — Quel métier exerce Brirouche ? Quelle est sa vocation ? — «Il tient chaire et boutique» : pourquoi «chaire» ? (il «enseigne» sa doctrine à une colonie de disciples qui gravitent autour de lui ; c’est un maître à la façon des anciens). Qui sont désignés par le terme «anciens» ? (vraisemblablement les philosophes grecs). — En quoi consiste la doctrine philosophique de Brirouche (sagesse au ras de terre codif ée en formules concises). — L’auteur se moque un peu de Brirouche : qu’est-ce qui le montre ? (opposition entre «haut vol» et «volaille plutôt», limite des prétentions philosophiques à une sagesse au «ras de terre» renforçant le terme «volaille»). 2- La boutique — Une petite boutique à l’entrée du village : relever les passages qui la décrivent (magasin de quartier, méchant réduit, bauge de chacal). — Le désordre de la boutique : quels termes le traduisent le mieux ? (capharnaüm : chercher le mot dans le dictionnaire, bazar) 3- Brirouche sait mener ses affaires — Comment attire-t-il les clients (avec sa doctrine) ? — C’est peut-être un philosophe, mais pas un rêveur : qu’est-ce qui le montre ? (il f t prospérer son affaire). 4- Le ton humoristique — Relever quelques traits de l’humour de M. Ouary, et les expliquer (la vocation, la boutique, l’homme).- 31 - Le travail à la chaîne 1- La chaîne — Dans quel paragraphe est-elle le mieux décrite ? (le premier) — Pourquoi l’appelle-t-on «travail à la chaîne» (chaque ouvrier occupe un poste à la suite de l’autre et ne s’occupe que d’une seule opération : cf. f le d’ouvriers, les uns… d’autres… les troisièmes… les quatrièmes…) — Illustrer par quelques exemples. — La chaîne n’attend pas : relever dans le texte les détails qui le montrent (tous les détails relatifs au temps accordé à chacune des opérations) — La valeur du temps ; «**dix secondes…(§2) : explique la remarque de l’auteur. 2- Le travail de l’ouvrier — Il ne connaît pas l’automobile : pourquoi ? — Un travail réduit à des gestes simples et précis : relever des exemples. Caractériser cette forme de travail ( mécanique : cf. le f lm de Charlie Chaplin « les temps modernes »). — Une critique à peine voilée : où apparaît-elle ? (dans la condition de l’ouvrier, dans les trois dernières lignes du second paragraphe : «il le fait des centaines, des milliers de fois… il ne fait que cela»). — Un résumé caricatural du travail à la chaîne : relever le passage des deux dernières phrases : «L’homme se penche… La chaîne s’en va». 3- Description ou narration ? — Quel temps est employé ? Pourquoi ? (le présent de l’indicatif : description «narrativisée»). — Caractériser les phrases (phrases courtes, énumératives, phrases sans verbe…) Pourquoi ? (pour mieux exprimer la durée très courte des opérations et la rapidité avec laquelle elles se succèdent).- 32 - Regroupement de textes Texte 1 : Un métier qui vous rend indépendant 1- Un cri d’indignation — Le texte commence par un échange : entre qui et qui ? — Un ton indiqué : qu’est-ce qui le montre ? — Pourquoi «Madame» s’indigne-t-elle ? (elle ne veut pas que son f ls soit artisan) 2- Les arguments de Rousseau — Que reproche-t-il à la dame ? ( préférer un rang social) — Que lui propose-t-il en échange ? ( l’élever à l’état d’homme) — Comment justif e-t-il sa proposition ? — Les arguments de Rousseau : • quel est le but de l’apprentissage d’un métier, selon Rousseau (vaincre les préjugés) ? • quelle recommandation sous forme de maxime fait-il ? (abaissezvous à l’état d’artisan pour être au-dessus du vôtre). — Qu’est-ce qu’un vrai métier pour Rousseau ? (un métier manuel où «les mains travaillent plus que la tête»). Texte 2 : Emile apprendra un métier 1- Un thème de la philosophie rousseauiste — Quel est l’intérêt du travail des mains ? (rapprocher de l’état de nature). 2- Que procure le métier d’artisan à l’inverse du laboureur (la liberté. Nous sommes à l’époque où le paysan travaillait une terre qui ne lui appartenait pas). 3- Le travail du laboureur est-il conforme avec le métier de l’agriculture ? Justif er la réponse (éléments de réponse dans le dernier paragraphe). 4- Pourquoi Emile devra-t-il apprendre l’agriculture ? (pour cultiver un héritage, celui de ses pères). Synthèse : Reconstituer l’ensemble de l’argumentation.- 33 - Pro
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