Composition de français N°3
Texte : Allo, ici mort- vivant !
Un soir, alors que dehors une tempête faisait rage, une vieille femme, seule dans sa petite maison, entendit son téléphone sonner, elle décrocha et entendit faiblement la voix de son mari, mort quelques années plus tôt.
La vieille dame, tellement effrayée et choquée par le coup de fil, mourut dans son lit. Le lendemain, au moment de la mettre en terre, on découvrit quelque chose d’étrange, en effet c’étaitun poteau de ligne téléphonique qui était tombé exactement sur la tombe du défunt mari…… Aurait- il profité de l’instant pour se faire entendre ?
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Questions
I/Compréhension de l’écrit : (13PTS)
1- Quel est le titre de ce texte ?
2- Ce texte est : a) une légende urbaine. b) un conte. c) un poème.
Choisis la bonne réponse
3- Quels sont les personnages de ce récit ?
4- Réponds par « vrai » ou « faux » :
a) La vieille femme a reçu un coup de téléphone de son fils.
b) Le mari de la vieille femme est mort.
c) La vieille femme est morte seule dans son lit.
5- Relève du texte un mot appartenant au champ lexical de la « peur ».
6- Relève du texte l’antonyme (le contraire) du mot « jeune ». jeune ≠ …………..
7- Relève du texte l’homonyme du mot « cou ».
8-Relève du texte un mot de la même famille que « faible ».
9- Relève du texte une proposition subordonnée relative .
10- Transforme la phrase suivante à la voix passive :
« L’homme appelle la vieille femme. »
11- Mets le verbe entre parenthèses au passé composé :
« Le téléphone (sonner). »
12-Complète le tableau suivant :
Verbe Temps de conjugaison Infinitif Groupe
entendit
était

13- Mets au pluriel :
Un poteau tombe → ………………………..
I/Production écrite : (07PTS) :
Remets en ordre les phrases suivantes afin d’obtenir la légende « Les fourmis tueuses » ;

1- Elle y (dans son oreille) pond des œufs.
2- C’est l’été, une mère s’absente un instant et laisse son fils dormant seul, sur la plage.
3- De retour, la mère retrouve son fils mort,
4- Pendant qu’il dort, une fourmi s’introduit dans son oreille.
5- les larves (œufs) avaient dévoré la moitié du cerveau de l’enfant